Les efforts en prévention du VIH sur les personnes utilisatrices de drogues ont historiquement été centrés chez les personnes utilisatrices de drogues injectables et opioïdes. Pourtant, la recherche a démontré que certaines drogues stimulantes, pas forcément injectables, pouvaient aussi accentuer le risque de transmission du virus.
N.B.: Pour connaître toutes les recommandations québécoises dans le domaine du VIH, veuillez consulter la section ITSS du site Internet du ministère de la Santé et des Services sociaux.